1. Ah ben finalement, ils ont retrouvé l'inscription d'Auschwitz. Cette histoire, c'était vraiment commentemmerderlemondeàpeudefrais.com/trucsfoireux.htm. Limite si je n'ai pas plus de sympathie pour les voleurs dont l'ambition minable et le sens de la gageure est plutôt attanchante ("qu'est-ce qu'on fait ce soir les copains ? Allez, venez, on pique l'inscription d'Auschwitz") que pour tous les cons qui ont braillé à l'acte antisémite.
Non, c'était juste une connerie.
2. Médecin appelé à 19h30 qui se pointe à 22h30 (et vous facture le tarif de nuit) : "ah non, c'est pas une entorse, allez faire une radio demain, si ça se trouve il va falloir un plâtre". Hôpital le lendemain, 4h d'attente : "ah ben si madame, c'est bien une entorse et on peut rien pour vous. Et bonne journée bien sûr".
3. La neige à Paris, c'est chouette. Un petit air de Noël...
4. Le Pavillon des Cancéreux, de Soljenitsyne, c'est pas très rigolo mais c'est très bien. Il m'est cependant avis que ça se termine assez mal.
5. Hier soir, les critiques du Masque et la Plume ont encensé Anna Gavalda - oui, depuis que j'ai découvert le concept du podcast, je ne suis plus obligée de renoncer au Masque du dimanche soir. Finalement, les critiques du Masque peuvent aussi avoir leur quart d'heure bisounours, ça fait plaisir.
Moi aussi j'aime bien Anna Gavalda - oui c'est plein de bons sentiments, mais que voulez-vous, on ne peut pas vivre qu'avec Le Pavillon des cancéreux...
6. Une copine m'a raconté que le proviseur de son bahut a expressément signalé aux professeurs (enfin aux enseignants) de ne pas souhaiter de "joyeux Noël" aux élèves (aux apprenants ?). C'est discriminant. Vilain. Pas laïque. Ouh !
C'est sûr, un adolescent risque d'être vachement choqué. Limite traumatisé à vie. Si après il n'a pas son bac, vous saurez où vous plaindre hein.
7. D'ailleurs, c'est quoi ce délire sur les affiches publicitaires d'Acadomia, sur laquelle une charmante demoiselle au décolleté plongeant se "donne du souci" pour savoir s'il y a une "place pour l'envie d'apprendre" ?
On n'y dit plus "professeur de français", mais "enseignante en français". Déjà, c'est crispant. Ensuite, si je me pointais avec un décolleté pareil en cours, franchement, le proviseur aurait autrement plus de palpitations que si je souhaitais un "joyeux Noël" aux élèves. Enfin, bon sang, mais l'envie d'apprendre, on s'en fout. Personne n'a "envie d'apprendre", dans l'absolu, de même que personne n'a envie de travailler. Seulement, il le faut bien parce que faut bien bouffer un jour ou l'autre. Ah, les joies de l'"élève au centre des savoirs"...
8. Et bonne semaine à tous !
Non, c'était juste une connerie.
2. Médecin appelé à 19h30 qui se pointe à 22h30 (et vous facture le tarif de nuit) : "ah non, c'est pas une entorse, allez faire une radio demain, si ça se trouve il va falloir un plâtre". Hôpital le lendemain, 4h d'attente : "ah ben si madame, c'est bien une entorse et on peut rien pour vous. Et bonne journée bien sûr".
3. La neige à Paris, c'est chouette. Un petit air de Noël...
4. Le Pavillon des Cancéreux, de Soljenitsyne, c'est pas très rigolo mais c'est très bien. Il m'est cependant avis que ça se termine assez mal.
5. Hier soir, les critiques du Masque et la Plume ont encensé Anna Gavalda - oui, depuis que j'ai découvert le concept du podcast, je ne suis plus obligée de renoncer au Masque du dimanche soir. Finalement, les critiques du Masque peuvent aussi avoir leur quart d'heure bisounours, ça fait plaisir.
Moi aussi j'aime bien Anna Gavalda - oui c'est plein de bons sentiments, mais que voulez-vous, on ne peut pas vivre qu'avec Le Pavillon des cancéreux...
6. Une copine m'a raconté que le proviseur de son bahut a expressément signalé aux professeurs (enfin aux enseignants) de ne pas souhaiter de "joyeux Noël" aux élèves (aux apprenants ?). C'est discriminant. Vilain. Pas laïque. Ouh !
C'est sûr, un adolescent risque d'être vachement choqué. Limite traumatisé à vie. Si après il n'a pas son bac, vous saurez où vous plaindre hein.
7. D'ailleurs, c'est quoi ce délire sur les affiches publicitaires d'Acadomia, sur laquelle une charmante demoiselle au décolleté plongeant se "donne du souci" pour savoir s'il y a une "place pour l'envie d'apprendre" ?
On n'y dit plus "professeur de français", mais "enseignante en français". Déjà, c'est crispant. Ensuite, si je me pointais avec un décolleté pareil en cours, franchement, le proviseur aurait autrement plus de palpitations que si je souhaitais un "joyeux Noël" aux élèves. Enfin, bon sang, mais l'envie d'apprendre, on s'en fout. Personne n'a "envie d'apprendre", dans l'absolu, de même que personne n'a envie de travailler. Seulement, il le faut bien parce que faut bien bouffer un jour ou l'autre. Ah, les joies de l'"élève au centre des savoirs"...
8. Et bonne semaine à tous !